AT-20 Premier LIVRE DES MACCABEES

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1er LIVRE DES MACCABEES

table des matières.

  • I. Préambule
  • Alexandre et les Diadoques. (Chap. 1)
  • Antiochus Épiphane *et la pénétration de l’hellénisme en Israël.
  • Première campagne d’Égypte et pillage du temple. *
  • Intervention du Mysarque et construction de l’Akra.
  • Installation des cultes païens.
  • II. Mattathias déchaîne la guerre sainte *
  • Mattathias et ses fils. * (Chap. 2)
  • L’épreuve du sacrifice à Modîn.
  • L’épreuve du sabbat au désert.
  • Activité de Mattathias et de son parti.
  • Testament et mort de Mattathias. *
  • III. Judas Maccabée chef des Juifs (166-160 av.J.-C.)
  • Éloge de Judas Maccabée. (Chap. 3)
  • Premiers succès de Judas. *
  • Préparatifs d’Antiochus contre la Perse et la Judée. * Régence de Lysias.
  • Gorgias et Nikanor conduisent en Judée l’armée de Syrie.
  • Réunion des Juifs à Maspha.
  • La bataille d’Emmaüs. (Chap. 4)
  • Première campagne de Lysias.
  • Purification du Temple et dédicace. *
  • Expédition contre les Iduméens et les Ammonites. * (Chap. 5)
  • Préliminaires des campagnes en Galilée et en Galaad.
  • Expéditions en Galilée et en Galaaditide.
  • Revers de lamnia.
  • Succès en Idumée et en Philistie.
  • Fin d’Antiochus Épiphane. * (Chap. 6)
  • Avènement d’Antiochus V.
  • Le siège de la Citadelle de Jérusalem par Judas Maccabée.
  • Campagne d’Antiochus V et de Lysias. Bataille de Bethzacharia.
  • Prise de Bethsour et siège du mont Sion par les Syriens.
  • Le roi accorde aux Juifs la liberté religieuse.
  • Démétrius Ier devient roi. Il envoie Bacchidès et Alkime en Judée. (Chap. 7)
  • Nikanor en Judée. Combat de Chapharsalama.
  • Menaces contre le Temple.
  • Le jour de Nikanor à Adasa.
  • Éloge des Romains. * (Chap. 8)
  • Alliance des Juifs avec les Romains.
  • Le combat de Béerzeth et la mort de Judas Maccabée. * (Chap. 9)
  • Funérailles de Judas Maccabée.
  • IV. Jonathan chef des Juifs et grand prêtre (160-143 av. J.-C.)
  • Triomphe du parti grec. Jonathan chef de la résistance.
  • Jonathan au désert de Thékoé. Épisodes sanglants autour de Médaba.
  • Le passage du Jourdain.
  • Fortifications de Bacchidès. Mort d’Alkime.
  • Le siège de Bethbassi.
  • Compétition d’Alexandre Balas. Il institue Jonathan grand prêtre. (Chap. 10)
  • Lettre de Démétrius 1er à Jonathan.
  • Jonathan repousse les offres de Démétrius. Mort du roi.
  • Mariage d’Alexandre avec Cléopâtre. Jonathan stratège et gouverneur.
  • Démétrius II. Apollonius, gouverneur de Cœlé-Syrie, battu par Jonathan.
  • Ptolémée VI soutient Démétrius II. Il meurt ainsi qu’Alexandre Balas. (Chap. 11)
  • Premiers rapports entre Démétrius II et Jonathan.
  • Nouvelle charte en faveur des Juifs. *
  • Démétrius II secouru par les troupes de Jonathan à Antioche.
  • Jonathan contre Démétrius II. Simon reprend Bethsour. Affaire d’Asor.
  • Relations de Jonathan avec Rome et Sparte. (Chap. 12)
  • Jonathan en Cœlé-Syrie, Simon en Philistie.
  • Travaux à Jérusalem.
  • Jonathan tombe aux mains de ses ennemis.
  • V. Simon, grand prêtre et ethnarque des Juifs (143-134 av. J.-C.)
  • Simon prend le commandement. (Chap. 13)
  • Simon repousse Tryphon de la Judée.
  • Jonathan enseveli dans le mausolée de Modîn construit par Simon.
  • Faveurs de Démétrius II à l’égard de Simon.
  • Prise de Gazara par Simon.
  • Conquête de la Citadelle de Jérusalem par Simon.
  • Eloge de Simon. (Chap. 14)
  • Renouvellement de l’alliance avec Sparte et Rome.
  • Décret honorifique en faveur de Simon.
  • Lettre d’Antiochus VII et siège de Dora.(Chap. 15)
  • Retour de l’ambassade de Rome en Judée,
  • et promulgation de l’alliance avec les Romains.
  • Antiochus VII assiégeant Dora
  • devient hostile à Simon et le fait réprimander.
  • Le gouverneur Kendébée harcèle la Judée.
  • Victoire des fils de Simon sur Kendébée. (Chap. 16)
  • Mort tragique de Simon à Dôk. Son fils Jean lui succède.

CHAPITRES : 1— 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16

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I. Préambule

Alexandre et les Diadoques.

1 1 Après qu’Alexandre, fils de Philippe, Macédonien sorti du pays de Chettiim, * eut battu Darius, roi des Perses et des Mèdes, et fut devenu roi à sa place en commençant par l’Hellade. * 2 Il entreprit de nombreuses guerres, s’empara de mainte place forte et mit à mort les rois de la contrée. 3 II poussa jusqu’aux extrémités du monde en amassant les dépouilles d’une quantité de nations, et la terre se tut devant lui. Son cœur s’exalta et s’enfla d’orgueil ; 4 il rassembla une armée très puissante, soumit provinces, nations, dynastes et en fit ses tributaires. 5 Après cela, il dut s’aliter et connut qu’il allait mourir. 6 II fit venir ses officiers, les nobles qui avaient été élevés avec lui depuis le jeune âge, et partagea entre eux son royaume pendant qu’il était encore en vie. 7 Alexandre avait régné douze ans quand il mourut. * 8 Ses officiers prirent le pouvoir chacun dans son gouvernement. 9 Tous ceignirent le diadème après sa mort, et leurs fils après eux durant de longues années : sur la terre, ils firent foisonner le malheur.

  • Vers 1. Schettiim. Les Chettiim, en hébr. Kittim, étaient les habitants de Kition et plus généralement de l’île de Chypre, Gn 10 4; 1 Ch 1 7; Is 23 1. Puis le terme s’étendit aux îles, Jr 2 10; Ez 27 6, et aux régions situées plus à l’ouest, telle la Macédoine, 1 M 8 5, puis enfin au monde romain.
  • Vers 1. l’Hellade. Le terme n’est pas restreint à la Grèce proprement dite; l’hébr. lavân qui lui correspond, Is 66 19; Ez 27 13, désigne avant tout l’Ionie, en Asie Mineure.
  • Vers 7. il mourut. En juin 323 av. J.-C. – Cette convocation fit naître l’idée d’un partage à la mort d’Alexandre; en fait, les tentatives de partage ne triomphèrent de la notion d’empire unique qu’après la bataille d’Ipsus, en 301. Dn 8 12, 22; 10 4 fait également allusion à l’éclatement de l’empire.

Antiochus Épiphane * et la pénétration de l’hellénisme en Israël.

1 10 II sortit d’eux un rejeton impie, Antiochus Épiphane, fils du roi Antiochus, qui, d’abord otage à Rome, * devint roi l’an cent trente-sept de la royauté des Grecs. * 11 En ces jours-là surgit d’Israël une génération de vauriens * qui séduisirent beaucoup de personnes en disant : « Allons, faisons alliance avec les nations qui nous entourent, car depuis que nous nous sommes séparés d’elles, bien des maux nous sont advenus. » 12 Ce discours leur parut bon. 13 Plusieurs parmi le peuple s’empressèrent d’aller trouver le roi, qui leur donna l’autorisation d’observer les coutumes païennes. * 14 Ils construisirent donc un gymnase à Jérusalem, selon les usages des nations, 15 se refirent des prépuces et renièrent l’alliance sainte pour s’associer aux nations. Ils se vendirent pour faire le mal. *

1 Maccabées 1 (10-15)

  • Titre. 175-164. Frère cadet de Séleucus IV et fils d’Antiochus III. – L’épithète royale d’épiphanès (« qui se manifeste avec éclat ») marque la prétention du roi à être la manifestation terrestre de Zeus.
  • Vers 10. à Rome. Antiochus IV avait fait partie des otages livrés par son père aux Romains après la défaite de Magnésie du Sipyle, en 189.
  • Vers 10. des Grecs. C’est-à-dire de l’ère séleucide, qui en Syrie débute en automne 312 (date théorique de la fondation d’Antioche) et en Babylonie au printemps 311.
  • Vers 11. de vauriens. Litt. « Transgresseurs de la Loi », expression qui, dans les LXX, traduit généralement l’hébr. « fils de Déliai », Dt 3 14, etc.
  • Vers 13. Païennes. Litt. « des nations »; c’est l’équivalent du mot hébreu goyim qui désigne souvent les nations païennes, par opposition au «peuple (d’Israël)» ‘am (avec pourtant des exceptions, 3 59; 8 23s; 9 29, cf. Gn 12 2; Ex 32 10. etc.).
  • Vers 15. faire le mal. La religion, la Loi, les coutumes faisaient des Juifs un groupe séparé, un corps étranger dans le monde oriental, unifié et hellénisé depuis la conquête d’Alexandre. L’assimilation, qui donnait les avantages humains de la civilisation nouvelle, ne pouvait se faire qu’en brisant les cadres qui assuraient la fidélité de la foi. Les innovations ne s’identifiaient pas encore aux pratiques idolâtriques que le roi imposera sept ans plus tard, mais elles multipliaient les occasions d’y prendre part. C’est le drame sous-jacent aux deux livres des Maccabées. Ce mouvement des Juifs philhellènes ne pouvait que trouver un appui auprès d’Antiochus Épiphane, fervent de la culture grecque, cf. vv. 41 -51.

Première campagne d’Égypte et pillage du temple. *

16 Quand il vit son règne affermi, Antiochus voulut devenir roi du pays d’Égypte, afin de régner sur les deux royaumes. 17 Entré en Égypte avec une armée imposante, des chars, des éléphants * (et des cavaliers) et une grande flotte, 18 il attaqua le roi d’Égypte, Ptolémée, qui recula devant lui et s’enfuit ; beaucoup d’hommes restèrent sur le terrain. 19 Les villes fortes égyptiennes furent prises et Antiochus s’empara des dépouilles du pays. 20 Ayant ainsi vaincu l’Égypte et pris le chemin du retour en l’année cent quarante-trois, il marcha contre Israël et sur Jérusalem avec une armée imposante.

21 Entré dans le sanctuaire avec arrogance, Antiochus enleva l’autel d’or, le candélabre de lumière avec tous ses accessoires, 22 la table d’oblation, les vases à libation, les coupes, les cassolettes d’or, le voile, les couronnes, la décoration d’or sur la façade du Temple, dont il détacha tout le placage. 23 II prit l’argent et l’or ainsi que les ustensiles précieux et fit main basse sur les trésors cachés qu’il trouva. 24 Emportant le tout, il s’en alla dans son pays ; il versa beaucoup de sang et proféra des paroles d’une extrême insolence. *

25 Israël fut l’objet d’un grand deuil dans tout le pays : 26 Chefs et anciens gémirent, jeunes filles et jeunes gens dépérirent, et la beauté des femmes s’altéra.

27 Le nouveau marié entonna un thrène ; assise dans la chambre, l’épouse fut en deuil. 28 La terre trembla à cause de ses habitants et la honte couvrit toute la maison de Jacob. *

  • Titre. C’est la première campagne contre Ptolémée Philométor, en 169. Elle est omise par l’auteur de 2 M qui ne mentionne que la « seconde attaque », 2 M 5 1, laquelle est omise ici. La suite des faits apparaît plus clairement dans le livre de Daniel, 11 25-27 : première campagne; v. 28 ; pillage du Temple; v.29 : deuxième campagne et intervention romaine; v. 30 : répression à Jérusalem; 31-39 : abolition du culte.
  • Vers 17. des éléphants. Ils venaient des Indes, et le centre d’élevage de ces animaux de combat, cf. ch. 6, était Apamée.
  • Vers 24. extrème insolence. L’orgueil d’Epiphane, qui s’égalait à Zeus, avait étonné ses contemporains qui, jouant sur son nom, l’appelaient épimanès, « fou ». Cf. 2 M 5 17, 21; 9 4-11; Dn 7 8, 25; 11 36.
  • Vers 28. de Jacob. C’est la première des compositions poétiques du livre, cf. encore vv. 38-42; 2 8-13,49-64; 3 3-9, 45; 14 4-14.

Intervention du Mysarque et construction de l’Akra.

29 Deux ans après, le roi envoya dans les villes de Juda le Mysarque, * qui vint à Jérusalem avec une armée imposante. 30 II tint aux habitants des discours faussement pacifiques et gagna leur confiance, puis il tomba sur la ville à l’improviste, lui assénant un coup terrible, et fit périr beaucoup de gens d’Israël. 31 II pilla la ville, y mit le feu, détruisit ses maisons et son mur d’enceinte. 32 Ses gens réduisirent en captivité les femmes et les enfants et s’approprièrent le bétail. 33 Alors ils rebâtirent la Cité de David, avec un grand mur très fort, muni de tours puissantes et ils s’en firent une citadelle. * 34 Ils y installèrent une race de pécheurs, des vauriens, et ils s’y fortifièrent ; 35 ils y emmagasinèrent armes et provisions, y déposèrent les dépouilles de Jérusalem qu’ils avaient rassemblées, et cela devint un piège redoutable.

36 Ce fut une embuscade pour le lieu saint, un adversaire maléfique en tout temps pour Israël. 37 Ils répandirent le sang innocent autour du sanctuaire et souillèrent le lieu saint. 38 A cause d’eux s’enfuirent les habitants de Jérusalem et celle-ci devint une colonie d’étrangers ; elle fut étrangère à sa progéniture et ses propres enfants l’abandonnèrent. 39 Son sanctuaire désolé devint comme un désert, ses fêtes se changèrent en deuil, ses sabbats en dérision et son honneur en mépris. 40 A sa gloire se mesura son avilissement et sa grandeur fit place au deuil.

  • Vers 29. le Mysarque. « le Mysarque » conj. d’après 2 M 5 24 (qui donne son nom : Apollonius); grec : « préposé aux tributs »; les deux mots sont très semblables en hébr. – II commandait aux mercenaires de Mysie, d’où son titre. Il vint à Jérusalem en 167. On le retrouve à 3 10.
  • Vers 33. une citadelle. Le nom de « Cité de David » s’était étendu à la grande colline occidentale. Devenu la Citadelle, en grec l’Akra, ce quartier abritera la garnison syro-macédonienne et les Juifs hellénisants. Il sera une menace pour le Temple situé à l’est, en contrebas, sur ce qu’on appelait alors le mont Sion. La toponymie de ce temps ne répond pas à celle de la période davidique, cf. 2 S 5 9+.

Installation des cultes païens.

41 Le roi publia ensuite dans tout son royaume l’ordre de n’avoir à former tous qu’un seul peuple 42 et de renoncer chacun à ses coutumes : toutes les nations se conformèrent aux prescriptions royales. 43 Beaucoup d’Israélites firent bon accueil à son culte, sacrifiant aux idoles et profanant le sabbat.

44 Le roi envoya aussi, par messagers, à Jérusalem et aux villes de Juda, des édits * leur enjoignant de suivre des coutumes étrangères à leur pays, 45 de bannir du sanctuaire holocaustes, sacrifice et libation, de profaner sabbats et fêtes, 46 de souiller le sanctuaire et tout ce qui est saint, 47 d’élever autels, lieux de culte et temples d’idoles, d’immoler des porcs et des animaux impurs, 48 de laisser leurs fils incirconcis, de se rendre abominables par toute sorte d’impuretés et de profanations, 49 oubliant ainsi la Loi et altérant toutes les observances. 50 Quiconque n’agirait pas selon l’ordre du roi serait puni de mort. 51 Conformément à toutes ces prescriptions, le roi écrivit à tout son royaume, créa des inspecteurs pour tout le peuple et enjoignit aux villes de Juda de sacrifier dans chaque ville. 52 Beaucoup de gens du peuple se rallièrent à eux, quiconque en somme abandonnait la Loi. Ils firent du mal dans le pays. 53 Ils réduisirent Israël à se cacher dans tous ses lieux de refuge.

54 Le quinzième jour de Kisleu en l’an cent quarante-cinq, * le roi construisit l’Abomination de la désolation sur l’autel des holocaustes * et, dans les villes de Juda circonvoisines, on éleva des autels. 55 Aux portes des maisons et sur les places, on brûlait de l’encens. 56 Quant aux livres de la Loi, * ceux qu’on trouvait étaient jetés au feu après avoir été lacérés. 57 Découvrait-on chez quelqu’un un exemplaire de l’Alliance, ou quelque autre se conformait-il à la Loi, la décision du roi le mettait à mort. 58 Ils sévissaient chaque mois dans les villes contre les Israélites pris en contravention ; 59 le vingt-cinq de chaque mois, * on sacrifiait sur l’autel dressé sur l’autel des holocaustes. 60 Les femmes qui avaient fait circoncire leurs enfants, ils les mettaient à mort, suivant l’édit, 61 avec leurs nourrissons pendus à leur cou, exécutant aussi leurs proches et ceux qui avaient opéré la circoncision.

62 Cependant plusieurs en Israël se montrèrent fermes et furent assez forts pour ne pas manger de mets impurs. 63 Ils acceptèrent de mourir plutôt que de se contaminer par la nourriture et de profaner la sainte alliance et, en effet, ils moururent. 64 Une grande colère plana sur Israël.

  • Vers 44. les édits. Cherchant l’unité de son empire, Antiochus Épiphane enjoint aux Juifs des pratiques païennes, abolissant ainsi la charte qu’en 198 Antiochus III leur avait accordée, reconnaissant la Loi de Moïse comme leur statut légal (comme avaient fait les rois de Perse après l’Exil), La fidélité à la Loi devenait ainsi un acte de rébellion politique, d’où la persécution. La liberté religieuse sera rétablie par le rescrit d’Antiochus V, 6 57-61; 2 M 11 22-26.
  • Vers 54. quarante cinq. De l’ère séleucide comptée à partir du printemps. On est en décembre 167.
  • Vers 54. Holocaustes. « L’abomination de la désolation», Dn 9 27; 11 31, c’est l’autel de Baal Shamem ou Zeus Olympien, édifié sur le grand autel des holocaustes.
  • Vers 56. de la Loi. Livre de « l’Alliance» ou livres de « la Loi » : ici le Pentateuque.
  • Vers 59. chaque mois. Jour anniversaire du roi, cf. 2 M 6 7, qui fut aussi celui de l’inauguration de l’autel. C’est trois ans après, jour pour jour, que Judas célébrera la dédicace du nouvel autel, 1 M 4 52s.